mercredi 4 juillet 2012

Electricité - Poser un tableau de répartition

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La pose d’un tableau de répartition est, en soi, assez simple ; ce qui l’est moins, c’est l’installation électrique de tous les circuits
partant de ce tableau. Une fois les circuits créés, leur raccordement
au tableau nécessite principalement de la méthode.
Un tableau de répartition
est constitué d’un coffret
muni de rails sur lesquels se
clipsent des éléments modulaires
: disjoncteurs, coupecircuit,
parafoudre, inters,
relais, contacteurs, thermostats,
programmateurs, sonneries,
délesteurs, minuteries, variateurs,
télérupteurs, transformateurs,
etc. Chaque appareil
occupe plus ou moins
de place sur le rail ; on parle
de nombre de modules (de
1 à 8 modules de 17,5 mm de
largeur).
Il faut donc calculer le
nombre de modules à
installer avant d’acheter un
coffret de tableau.
Dessiner avec des crayons
de couleurs un schéma de
montage du tableau en
notant chaque circuit et son
coupe-circuit au calibre qui
lui convient (Voir le schéma
de principe d’un tableau page 89).
Le tableau réalisé dans ces

pages concerne une installation
d’importance moyenne.
Il alimente des lignes
d’éclairage, de prises et de
chauffage et il est commandé
par un disjoncteur différentiel
haute sensibilité (30 mA)
qui fait aussi fonction de
coupe-circuit général.
1. Découper une fenêtre
dans le panneau support pour
le passage des fils.
2. Fixer le châssis du coffret
sur le panneau.
3. Clipser le disjoncteur
différentiel qui sert aussi
de coupure générale.
4. Clipser les éléments

modulaires suivants en
fonction du schéma de
montage.

mardi 19 juin 2012

Nivellement (topographie)

Le nivellement en topographie est l'ensemble des opérations consistant à mesurer des différences de niveaux, pour déterminer des altitudes. En d'autres termes, le nivellement permet de mesurer des dénivelés puis de déduire l'altitude de repères ou de points caractéristiques du sol ou d'ouvrages. Les altitudes peuvent être rapportées à une référence locale (qu'il est d'usage de choisir plus basse que le point le plus bas de la zone étudiée pour ne pas avoir d'altitudes négatives, et suffisamment différente du niveau de référence général pour éviter les confusions), ou à un système de référence plus général. Le système utilisé en France rapporte toutes les altitudes à celle du niveau moyen de la mer dans le vieux port de Marseille, qui est l'altitude zéro, généralement dite "niveau de la mer".

dimanche 10 juin 2012

Plancher, poutrelles et hourdis



La réalisation d’une dalle de compression sur un plancher poutrelles/hourdis peut sembler un travail de spécialiste, pourtant il n’y a que le coulage qui soit délicat et nécessite à la fois d’être bien préparé (car le béton prêt n’attend pas) et d’avoir l’aide d’une poignée d’amis fiables.
L’étude du plancher, c’est-à-dire le calcul des poutrelles, l’estimation des hourdis nécessaires... est effectué par un technicien au service du fournisseur du matériel à partir d’un plan coté exact de la maçonnerie indiquant les endroits subissant des surcharges (cheminée, gros aquarium...), les balcons, escaliers... Le néophyte aura intérêt à
visiter plusieurs autres chantiers, voire à donner un coup de main à préparer ou couler chez quelqu’un d’autre. Pour la préparation d’une dalle, il est fortement conseillé d’être deux.
Les opérations successives pour la préparation d’un plancher poutrelles/hourdis sont :
* Vérification de la livraison, tri des poutrelles en fonction de leur longueur.
* Pose des poutrelles sur les murs arasés et sur les linteaux. Replier les fils d’acier à 90 degrés si
nécessaire. Les poutrelles reposent à leurs extrémités sur 5 cm environ.
* Répartir les poutrelles en utilisant un hourdis à chaque extrémité comme entretoise.
* Étayer dans l’axe de chaque travée en utilisant des chevrons en partie haute et des madriers sur le sol. Ne pas trop brider les étais car les poutrelles précontraintes ont une contre-flèche qu’elles perdront lorsqu’on enlèvera les étais et seront alors à peu près droites.
* Placer les hourdis.

Drainage?


Le but du drainage est de protéger la partie basse de la construction (fondations, sous-sol, bas des murs extérieurs des infiltrations d’eau (sources, ruissellement...) en construisant une canalisation poreuse ceinturant au plus près le bâtiment, en-dessous de son point le plus bas. Le drainage est une opération importante qu’il convient de réaliser soigneusement, même dans le cas d’un vide sanitaire.
Réalisation :
* dégager sur au moins soixante centimètres de large le pourtour du bâtiment jusqu’au niveau du point le plus
bas (par ex. : plancher du sous-sol)

samedi 9 juin 2012

Résistance des matériaux

   
Formulaire techniques

  des contraintes

                             de RDM
  

                

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Les Escalier

L’escalier :ouvrage constitué d’une suite
régulière de plans horizontaux (marches et
paliers) permettant, dans une construction,
de passer à pied d’un étage à un autre.
L’emmarchement :largeur utile
de l’escalier, mesurée entre murs ou entre
limons.
La hauteur de marche :distance
verticale qui sépare le dessus d’une
marche du dessus de la marche suivante.
Le giron :distance horizontale
mesurée entre les nez de deux marches
consécutives. Le giron est souvent
désigné par la lettre G.

LES DIFFERENTS TYPES DE MURS:

A. Murs de façade :
Le plus souvent parallèles à la rue, ils comportent des ouvertures : portes et fenêtres.
S’ils sont porteurs, ils ont à supporter le poids des différents planchers et de leurs surcharges.

B. Murs pignons- Murs mitoyens :
Le plus souvent perpendiculaires aux murs de façade, ils ont généralement la forme de la toiture (droite ou en pointe). Comportant moins de baies que les b murs de façade, ils ont à supporter le conduit de fumée et les gaines de ventilation.
Dans les agglomérations il n’est pas rare qu’un pignon appartienne à deux propriétaires. Il est alors mitoyen.

calcul tous les structure de bâtiment facilement avec du fichiers EXCEL





Pour les Semelles Isolées ======>>       Télécharger
Pour les Escaliers ============>>      Télécharger
Pour les Tirants =============>>       Télécharger
Pour les Semelles filants========>>     Télécharger
Pour les Murs en Béton Ramée===>>     Télécharger
Pour les Poteaux ============>>        Télécharger
Pour les Dalles ==============>>      Télécharger
Pour les Poutres ============>>        Télécharger




Cours avec exercices Corrigé Pratique du BAEL

Pratique du BAEL 91 Cours avec exercices Corrigé Eyrolles.pdf




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Les chaînages horizontaux

Ils ceinturent les façades et les relient au droit de chaque refend. Pour être efficaces les chainages doivent être mis en œuvre en respectant les liaisons aux angles et le recouvrement des aciers.
Les chaînages sont reliés dans chaque angle ou intersection par des équerres ou des aciers de liaison en « U ».
Les aciers longitudinaux reprennent les efforts suivants :
Retrait et dilatation des planchers et des murs
Mouvements du sol
Mouvements de la maçonnerie
Dilatations dues aux variations climatiques
Vent

Réaliser un mur de soutènement:


Si votre terrain est en pente, peut-être serez-vous amené à réaliser un mur de soutènement c'est à dire qui va supporter de la terre sur tout ou partie de sa hauteur. La poussée sur le mur exercée par la terre s'intensifie fortement après de fortes pluies quand la terre est gorgée d'eau.
Pour éviter que le mur ne se fissure et ne s'écroule sous la poussée des eaux, il est indispensable de prévoir un drainage efficace comme le montre la figure ci-dessous.
Le remblais est constituée de gros graviers (sans sable).

Le drainage:

Le drainage d'un terrain permet de maîtriser les problèmes d'infiltrations d'eau. On le place au pied des fondations d'un bâtiment, de manière à limiter l'humidité pouvant endommager le ciment ou la dalle de béton.
Cette installation consiste à évacuer l'eau présente en excès dans le sol, au moyen de tuyaux enterrés. L'eau recueillie est ensuite évacuée par un puisard.
Le drainage est particulièrement recommandé pour les terrains en pente ou de nature argileuse et sableuse
Le drainage en pratique
Le principe du drainage est simple :
Les eaux de pluie sont conduites en sous-sol, à travers

Les planchers à dalle pleine :


Ces planchers sont constitués d’une dalle pleine en béton (de 15 à 20 cm d’épaisseur) armée

soit avec un treillis soudé, soit avec des aciers ligaturés.

Comme pour les planchers précédents, les appuis de la
dalle peuvent être des murs (de façade

ou de refend) ou des poutres en béton armé

- Les autres types de dalle :
- dalle nervurée dans une direction
- dalle nervurée dans deux directions
- dalle champignons
- plancher en bois

Mesure de la plasticité au cône d'abrams (ou slump test):

L'appareil est constitué par un tronc de cône en tôle muni de deux poignées. Il est aisé de confectionner un tel cône, dont les dimensions normalisées et indiquées sur la figure doivent être

respectées.
Le processus de mesure est lui aussi normalisé. Il est le suivant lorsqu'il est effectué dans les laboratoires de contrôle. Après avoir posé le cône sur une surface bien plane, on le remplit avec le béton à essayer en quatre couches de même épaisseur (7,5 cm, environ) tassées avec une tige d'acier de 16 mm de diamètre à raison de 25 coups par couche.


On enlève ensuite le moule avec précaution et en faisant, si nécessaire, tourner légèrement le moule autour de son axe. L'affaissement du béton qui en résulte, mesuré en centimètres exprime sa maniabilité.
Pour effectuer cette mesure, on se set d'un petit portique enjambant le tas de béton affaissé dont la hauteur est égale à celle du cône. Si l'aire est suffisamment grande et plane est si les deux
bases du tronc de cône sont bien parallèles, on peut se contenter d'appuyer une règle sur la partie supérieure de celle-ci.